Introduction
Pourquoi sommes nous fascinés par le cirque ? Depuis toujours, les hommes sont allés voir les cirques itinérants. Pourquoi cet attrait ? Le cirque, ou plutôt l’Art du Cirque nous permet de voir de personnes ayant repoussé ce que nous jugions comme les limites humaines, les ont repoussé et ont franchi ces limites. Equilibristes, acrobates, magiciens, ils nous éblouissent. Ils semblent venir d’un autre monde, où les hommes peuvent s’envoler et vivre leurs rêves. Un monde où les soucis n’ont pas d’emprise, où tous sourient. Où tous peuvent accomplir ce qu’ils souhaitent accomplir. Au cirque, point de clowns tristes, point de chutes. Tous créent une représentation, parfaite du début à la fin, montrent un bout du rêve qu’ils semblent vivre.
Mais la réalité est autrement différente. En réalité, un clown n’est pas toujours heureux, n’a pas toujours ce sourire rivé sur ses lèvres, un équilibriste n’est pas une personne différente d’une autre mais une personne qui a su s’accrocher à son rêve initial, qui a su s’entrainer, des heures et des heures, à tenir sur un fil. Rien n’est magique, et les lois de la physique s’appliquent à tous, même à ceux qui volent : pour ne pas s’écraser en bas, tout est entrainement, tout est calcul. Cet art n’est autre que l’application de forces savamment exécutée, que l’abus des yeux de ceux qui regardent.
Et pourtant, nous aimons le cirque, même quand nous grandissons. Même lorsque nous devenons grands, ces clowns gardent cette magie à nos yeux. Et cela est dû à tout ce qui entoure une représentation de cirque : le talent, mais aussi les maquillages, les costumes, le jeu d’acteur. Un talentueux clown est un acteur de talent. Il sait, par ses mots, capturer l’attention du public, faire rire les plus jeunes tout en amusant les plus grands. Un jongleur doué est celui qui sait rattraper ses balles, mais aussi intéresser le public à ces balles, à donner envie à ces yeux avides de voir une balle de plus sauter entre ces mains agiles et rapides, à voir une massue voler vers le plafond strié du chapiteau.
Voilà pourquoi nous, les hommes aimons le cirque. Il nous fascine, il nous attire, il développe notre imagination. La télévision nous intéresse, les livres nous engloutissent, les peintures nous interpellent, mais le cirque nous fascine. Car c’est un art que nous ne pourrons jamais, nous commun des mortels, que toucher du doigt. Nous ne voyons que la surface de l’iceberg, les images renvoyées derrière lesquelles se cache tout un monde.
Un monde qui n’est pas que couleurs et douceur.
Mais la réalité est autrement différente. En réalité, un clown n’est pas toujours heureux, n’a pas toujours ce sourire rivé sur ses lèvres, un équilibriste n’est pas une personne différente d’une autre mais une personne qui a su s’accrocher à son rêve initial, qui a su s’entrainer, des heures et des heures, à tenir sur un fil. Rien n’est magique, et les lois de la physique s’appliquent à tous, même à ceux qui volent : pour ne pas s’écraser en bas, tout est entrainement, tout est calcul. Cet art n’est autre que l’application de forces savamment exécutée, que l’abus des yeux de ceux qui regardent.
Et pourtant, nous aimons le cirque, même quand nous grandissons. Même lorsque nous devenons grands, ces clowns gardent cette magie à nos yeux. Et cela est dû à tout ce qui entoure une représentation de cirque : le talent, mais aussi les maquillages, les costumes, le jeu d’acteur. Un talentueux clown est un acteur de talent. Il sait, par ses mots, capturer l’attention du public, faire rire les plus jeunes tout en amusant les plus grands. Un jongleur doué est celui qui sait rattraper ses balles, mais aussi intéresser le public à ces balles, à donner envie à ces yeux avides de voir une balle de plus sauter entre ces mains agiles et rapides, à voir une massue voler vers le plafond strié du chapiteau.
Voilà pourquoi nous, les hommes aimons le cirque. Il nous fascine, il nous attire, il développe notre imagination. La télévision nous intéresse, les livres nous engloutissent, les peintures nous interpellent, mais le cirque nous fascine. Car c’est un art que nous ne pourrons jamais, nous commun des mortels, que toucher du doigt. Nous ne voyons que la surface de l’iceberg, les images renvoyées derrière lesquelles se cache tout un monde.
Un monde qui n’est pas que couleurs et douceur.